La Bête humaine
La Bête humaine (paragraphe n°970)
Chapitre V
Dans la rue du Rocher, Séverine marcha follement. Elle s'aperçut qu'elle remontait la rue, sans raison ; et elle redescendit la pente, traversant la chaussée pour rien, au risque de se faire écraser. C'était un besoin de mouvement, de gestes, de cris. Déjà, elle comprenait pourquoi on leur faisait grâce, et elle se surprit à se dire :