La Bête humaine
La Bête humaine (paragraphe n°614)
Chapitre IV
Je crois, monsieur, que vous auriez tort, dit-il enfin. Le testament ne pourrait être attaqué que si le totaldes legs dépassait la moitié de la fortune, et ce n'est pas le cas.
Le site des archives d'Emile Zola
La Bête humaine
La Bête humaine (paragraphe n°614)
Chapitre IV
Je crois, monsieur, que vous auriez tort, dit-il enfin. Le testament ne pourrait être attaqué que si le totaldes legs dépassait la moitié de la fortune, et ce n'est pas le cas.