La Bête humaine
La Bête humaine (paragraphe n°470)
Chapitre III
Que vous êtes gentille ! Vous me gâtez... Venez donc causer plus souvent. Vous savez que mon mari est toujours à sa caisse ; et moi je m'ennuie tant, clouée ici, à cause de mes jambes ! Qu'est-ce que je deviendrais, si ces misérables me prenaient ma vue ?