La Bête humaine
La Bête humaine (paragraphe n°289)
Chapitre II
Regarde, ça y est encore, va ! Il m'aura droguée, j'ai la bouche amère comme si j'avais avalé des vieux sous. Dieu sait pourtant si j'ai rien pris de sa main ! C'est à se ficher à l'eau... Ce soir, je n'en peux plus, vaut mieux que je me couche. Alors, adieu, mon garçon, parce que, si tu pars à sept heures vingt-six, ce sera de trop bonne heure pour moi. Et reviens, n'est-ce pas ? et espérons que j'y serai toujours.