La Bête humaine
La Bête humaine (paragraphe n°1439)
Chapitre VIII
Mais il ne bougeait pas, car il savait que, s'il se retournait, avec ce couteau dans la main, s'il la revoyait seulement, si fine, si jolie, en sa nudité et son désordre, c'en était fait de la volonté qui le raidissait là, près d'elle.Malgré lui, sa main se lèverait, lui planterait le couteau dans le cou.