L'Assommoir
L'Assommoir (paragraphe n°589)
Partie : Préface de l'auteur, chapitre IV
Et Gervaise, ayant consenti d'un signe de tête, tout le monde l'embrassa en lui recommandant de se bien porter. On dit adieu aussi au bébé. Chacun vint se pencher sur ce pauvre petit corps frissonnant, avec des risettes, des mots de tendresse, comme s'il avait pu comprendre. On l'appelait Nana, la caresse du nom d'Anna que portait sa marraine.