L'Assommoir
L'Assommoir (paragraphe n°429)
Partie : Préface de l'auteur, chapitre III
Mademoiselle Remanjou ayant parlé d'aller à la campagne tout de même, quand on devrait s'arrêter dans le fossé des fortifications, la noce se récria : les chemins devaient être jolis, on ne pourrait seulement pas s'asseoir sur l'herbe ; puis, ça ne paraissait pas fini, il reviendrait peut-être une saucée. Coupeau, qui suivait des yeux un ouvrier trempé marchant tranquillement sous la pluie, murmura :