L'Assommoir
L'Assommoir (paragraphe n°392)
Partie : Préface de l'auteur, chapitre II
Coupeau branla furieusement la tête. Lorilleux lui revaudrait cette soirée-là. Avait-on jamais vu un pareil grigou ! croire qu'on allait lui emporter trois grains de sa poussière d'or ! Toutes ces histoires, c'était de l'avarice pure. Sa sœur avait peut-être cru qu'il ne se marierait jamais, pour lui économiser quatre sous sur son pot-au-feu ? Enfin, ça se ferait quand même le 29 juillet. Il se moquait pas mal d'eux !