Germinal
Germinal (paragraphe n°647)
Partie : Deuxième partie, chapitre III
Mais, tout d'un coup, l'idée de la brioche lui revint. Elle regarda les mains vides de Lénore et d'Henri, qui se battaient par terre, déjà reposés et gaillards. Est-ce que ces gourmands n'avaient pas, en chemin, mangé sournoisement la brioche ! Elle les gifla, pendant qu'Alzire, qui mettait la marmite au feu, tâchait de l'apaiser.