Germinal
Germinal (paragraphe n°625)
Partie : Deuxième partie, chapitre II
Oh ! ce n'est pas pour me plaindre. Les choses sont ainsi, il faut les accepter ; d'autant plus que nous aurions beau nous débattre, nous ne changerions sans doute rien... Le mieux encore, n'est-ce pas ? Monsieur et Madame, c'est de tâcher de faire honnêtement ses affaires, dans l'endroit où le bon Dieu vous a mis.