Germinal
Germinal (paragraphe n°527)
Partie : Deuxième partie, chapitre I
Jamais !... Tu sais bien que je ne veux pas spéculer. Je vis tranquille, ce serait trop bête, de me casser la tête avec des soucis d'affaires. Et, quant à Mohtsou, ça peut continuer à baisser, nous en aurons toujours notre suffisance. Il ne faut pas être si gourmand, que diable ! Puis, écoute, c'est toi qui te mordras les doigts un jour, car Montsou remontera, les enfants de Cécile en tireront encore leur pain blanc.