Germinal

Germinal (paragraphe n°2733)

Partie : Septième partie, chapitre II

Longtemps, la tête basse, Souvarine marcha sur l'herbe fine, si absorbé, qu'il suivait l'extrême bord de l'eau, avec la tranquille certitude d'un homme endormi, rêvant le long des gouttières. Puis, il tressaillit sans cause, comme s'il s'était heurté contre une ombre. Sesyeux se levèrent, sa face apparut, très pâle ; et il dit doucement à son compagnon :

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