Germinal
Germinal (paragraphe n°2484)
Partie : Sixième partie, chapitre III
Ca ne te regarde pas... Il y en a un de trop, c'est au plus fort de vivre. Déjà, sans attendre l'attaque, Chaval lançait dans le vide ses poings fermés. Il était le plus grand, dégingandé, visant à la figure, par de furieux coups de taille, des deux bras, l'un après l'autre, comme s'il eût manœuvré une paire de sabres. Et il causait toujours, il posait pour la galerie, avec des bordées d'injures, qui l'excitaient.