Germinal
Germinal (paragraphe n°2482)
Partie : Sixième partie, chapitre III
Les bras suppliants, Catherine s'avançait entre eux ; mais ils n'eurent pas la peine de la repousser, elle sentit la nécessité de la bataille, elle recula d'elle-même, lentement. Debout, contre le mur, elle demeura muette, si paralysée d'angoisse, qu'elle ne frissonnait plus, les yeux grands ouverts sur ces deux hommes qui allaient se tuer pour elle.