Au Bonheur des dames
Au Bonheur des dames (paragraphe n°239)
Chapitre II
Presque tous les mois, Bouthemont allait ainsi en fabrique, vivant des journées à Lyon, descendant dans les premiers hôtels, ayant l'ordre de traiter les fabricants à bourse ouverte. Il jouissait d'ailleurs d'une liberté absolue, il achetait comme bon lui semblait, pourvu que, chaque année, il augmentât dans une proportion fixée d'avance le chiffre d'affaires de son comptoir ; et c'étaitmême sur cette augmentation qu'il touchait son tant pour cent d'intérêt. En somme, sa situation, au