Arrestations de Picquart et Esterhazy
Commentaires
La confusion règne dans l'Armée française qui arrête d'abord Esterhazy, à la grande joie des juifs criant "Vive Dreyfus" avant de le libérer et d'emprisonner le lieutenant-colonel Picquart, à la grande joie de la bourgeoisie anti-dreyfusard.Dessin du Fischietto, Turin, repris dans Le Rire.
Auteur
Non déterminé
Date
13 août 1898
Origine
Le Rire, 13 août 1898