Angélique et Félicien enlacés
Commentaires
"Elle ne lui demandait pas où il la conduisait, elle s'abandonnait à son bras, dans les ténèbres des troncs centenaires. La terre était douce aux pieds, les voûtes de feuilles se perdaient, très hautes, comme des voûtes d'église. Pas un bruit, pas un souffle, rien que le battement de leurs coeurs." (chapitre IX)
Auteur
Gabrielle Faure
Date
1924
Origine
Le Rêve, éditions André, 1924, p. 159