Le machineur haussa les épaules. Il avait le mépris des beaux parleurs, des gaillards qui entrent dans lapolitique comme on entre au barreau, pour y gagner des rentes, à coups de phrases.
Le site des archives d'Emile Zola
Le machineur haussa les épaules. Il avait le mépris des beaux parleurs, des gaillards qui entrent dans lapolitique comme on entre au barreau, pour y gagner des rentes, à coups de phrases.