Tu crois donc que j’ai à toucher des mille et des cents… La quinzaine est trop maigre, avec leur sacrée idée d’arrêter constamment le travail.
Le site des archives d'Emile Zola
Tu crois donc que j’ai à toucher des mille et des cents… La quinzaine est trop maigre, avec leur sacrée idée d’arrêter constamment le travail.