Ah ! ouiche, les curés ! s’écriait Maheu. S’ils croyaient ça, ils mangeraient moins et ils travailleraient davantage, pour se réserver là-haut une bonne place… Non, quand on est mort, on est mort.
Le site des archives d'Emile Zola
Ah ! ouiche, les curés ! s’écriait Maheu. S’ils croyaient ça, ils mangeraient moins et ils travailleraient davantage, pour se réserver là-haut une bonne place… Non, quand on est mort, on est mort.