Mais Bonnemort resta un instant suffoqué par une nouvelle crise, d’une telle violence, qu’il ne pouvait reprendre haleine. Enfin, quand il eut craché et essuyé l’écume noire de ses lèvres, il dit, dans le vent qui redoublait :
Le site des archives d'Emile Zola
Mais Bonnemort resta un instant suffoqué par une nouvelle crise, d’une telle violence, qu’il ne pouvait reprendre haleine. Enfin, quand il eut craché et essuyé l’écume noire de ses lèvres, il dit, dans le vent qui redoublait :