Encore de la viande pour les corbeaux ! disait douloureusement Maurice, qui se rappelait la quantité inquiétante de chevaux, rencontrée par lui. Si nous restons quelques jours, nous allons tous nous dévorer… Ah ! les pauvres bêtes !
Le site des archives d'Emile Zola
Encore de la viande pour les corbeaux ! disait douloureusement Maurice, qui se rappelait la quantité inquiétante de chevaux, rencontrée par lui. Si nous restons quelques jours, nous allons tous nous dévorer… Ah ! les pauvres bêtes !