Au loin, derrière l’épais rideau de brume, le canon de Bazeilles ne cessait point. Et, d’un grand geste, il tendit les bras.
Le site des archives d'Emile Zola
Au loin, derrière l’épais rideau de brume, le canon de Bazeilles ne cessait point. Et, d’un grand geste, il tendit les bras.